Dans un objectif de lutte contre la fraude à la TVA et sous l'impulsion de la Commission européenne, le gouvernement français au travers d'une loi votée en 2020 a souhaité généraliser la facturation électronique entre assujettis à horizon 2023/2025, mesure ensuite reportée à 2024/2026, pour tenir compte des difficultés des entreprises. Face aux retards pris dans les immatriculations des plateformes privées devant transmettre les différents flux d’informations vers l’Administration fiscale mais également du niveau d’avancement de l’ensemble des parties prenantes, un report de l’entrée en vigueur a été annoncé cet été par la Direction Générale des Finances publiques.
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